Quantcast
Channel: Frandroid
Viewing all 27124 articles
Browse latest View live

Notre recette de l’Android Pie Cherry

$
0
0

Une nouvelle version Android signifie toujours la découverte d’un nouveau dessert. Cette année, Google a choisi « Pie ». Voici donc notre recette maison de ce gâteau d’origine américaine.

Comme la recette du gâteau Oreo l’année dernière, nous vous proposons notre interprétation de « Pie », la nouvelle version d’Android. La recette nous est proposée par CookinLulu, un blog tenu par une passionnée de pâtisserie. D’ailleurs, n’hésitez pas à suivre sa page Facebook pour découvrir d’autres recettes.

Si l’Apple Pie est plus mythique — il faut dire que le film American Pie a contribué à sa renommée –, notre choix s’est porté sur la Pie Cherry, que l’on peut littéralement traduire par la tarte aux cerises.

Lien YouTube

Vous pouvez retrouver les différentes étapes de cette recette sur le blog, et éventuellement rajouter de la crème chantilly maison sur le tout pour parfaire la recette à votre goût. Un délice.


Les meilleurs jeux sans connexion sur Android en 2018

$
0
0

Que vous soyez un habitué du métro, un voyageur qui prend souvent l’avion ou que vous vous rendiez dans un endroit dénué de toute connexion internet, la question des jeux jouables hors-ligne (offline) s’est forcément posée au moins une fois. Voici une petite sélection des meilleurs d’entre eux, dans des genres différents, gratuits ou payants.

Dossier mis à jour en septembre 2018.

Les jeux hors-ligne payants sur Android

Final Fantasy XV Pocket Edition

Final Fantasy XV a eu droit à une version dédiée aux mobiles, la Pocket Edition, qui reprend la trame complète du jeu avec de nouveaux graphismes et un gameplay adapté. Square Enix a eu la bonne idée de laisser le chapitre 1 gratuit, mais il faudra ensuite payer les chapitres suivants de 1 à 4 euros par chapitre, ou 20 euros pour la totalité du jeu. Expérience payante oblige, le jeu ne comporte aucune mécanique de pay to win ou de publicité, c’est toujours bienvenu sur mobile.

sur l'App Store | Télécharger Télécharger pour Télécharger gratuitement sur Google Play | Télécharger

Lien YouTube

 

You Must Build a Boat

Aussi appelée « Tu Dois Construire Un Bateau » depuis que l’application a été (piteusement) traduite, You Must Build a Boat ou YMBA est un excellent match-3 sur Android. Dans la peau d’un aventurier dont le but est de construire un bateau et de recruter un équipage, le joueur doit venir à bout de niveaux en assemblant des combinaisons d’épées, de bâtons magiques ou de caisses qui vont lui permettre de battre des ennemis. Principe génial, OST fantastique et durée de vie généreuse qui valent largement de se séparer de quelques deniers.

Télécharger pour Télécharger pour 2,69 € sur Google Play | Télécharger

Lien YouTube

 

Limbo

Un environnement lugubre, un petit garçon forcé de fuir le danger constamment, des mécanismes à activer et une direction artistique époustouflante…. Limbo est un jeu génial qu’il ne faut pas manquer pour peu que vous vouliez un titre mêlant action, adresse et casse-tête. On saluera tout particulièrement la maniabilité bien soignée malgré les limites des écrans tactiles sur ce genre de gameplay. La fin du jeu quant à elle suscite de nombreuses interrogations tant elle est mystérieuse. Rien que pour cela, il vaut le détour.

Limbo
Playdead

Télécharger pour Télécharger pour 5,26 € sur Google Play | Télécharger

Lien YouTube

 

Lara Croft Go

Lara Croft ce n’est pas seulement une héroïne surarmée capable de survivre seule avec une machette et une boîte d’allumettes sur une île déserte remplie de pirates. C’est avant tout une exploratrice qui utilise sa cervelle pour résoudre des énigmes à base de leviers tout en évitant la faune hostile. Et c’est bien ce que propose Lara Croft Go, qui parvient parfaitement à retranscrire l’esprit de la série tout en insérant des phases de puzzle bienvenues. Un must have sur Android.

Télécharger pour Télécharger pour 1,09 € sur Google Play | Télécharger

Lien YouTube

 

Card Thief

Un maître voleur qui se respecte doit faire preuve de la plus grande discrétion et d’une bonne dose d’ingéniosité. Le personnage que vous incarnez dans Card Thief ne doit surtout pas se faire attraper s’il veut réussir à voler le butin des châteaux qu’il visite. Ce titre est un jeu de cartes où il faut exploiter au mieux les déplacements que l’on peut faire, les bonus à notre portée et les zones obscures qui permettent d’avancer sans être vu. Chaque coup doit être mûrement réfléchi si vous voulez être sûr de duper les gardes, les chiens et les chouettes qui surveillent les lieux. S’il est disponible gratuitement, il vous faudra payer pour dépasser le premier niveau.

Card Thief
Arnold Rauers

Télécharger pour Télécharger gratuitement sur Google Play | Télécharger

Lien YouTube

La série Monument Valley

Toujours dans les jeux sans combat, Monument Valley est sans conteste l’un des meilleurs jeux de réflexion qui existe sur mobile. Le but du jeu est de déplacer la petite Ida d’un point à l’autre de niveaux inspirés des œuvres de Maurits Cornelis Escher. Des tableaux aux formes géométriques impossibles et changeantes suivant la perspective. Un jeu intelligent, relaxant et d’une très grande beauté. Le jeu a connu une suite, Monument Valley 2, tout aussi réussie.

sur l'App Store | Télécharger Télécharger pour Télécharger pour 2,99 € sur Google Play | Télécharger
sur l'App Store | Télécharger Télécharger pour Télécharger pour 5,49 € sur Google Play | Télécharger

Lien YouTube

 

La série The Room

Vous êtes coincés dans un train pendant deux heures sans savoir quoi faire ? Alors, lancez The Room, que ce soit le premier, le second ou le dernier épisode, peu importe, il est possible de les faire séparément sans avoir fait les autres. Le principe est systématiquement le même : coincé dans différentes pièces d’un manoir sombre, le joueur doit trouver un moyen d’en sortir en observant les différents objets qui s’y trouvent. Les énigmes sont toujours d’une logique incroyable, les graphismes sont sublimes et le tout est entouré d’un scénario intrigant. Un classique sur mobile.

The Room Two
Fireproof Games

sur l'App Store | Télécharger Télécharger pour Télécharger pour 2,29 € sur Google Play | Télécharger

The Room Three
Fireproof Games

sur l'App Store | Télécharger Télécharger pour Télécharger pour 4,49 € sur Google Play | Télécharger

The Room: Old Sins
Fireproof Games

Télécharger pour Télécharger pour 5,49 € sur Google Play | Télécharger

Lien YouTube

 

Minecraft

On ne présente plus Minecraft qui a su conquérir des millions de joueurs avec son univers où on l’on est amené à construire des maisons simples au début avant de s’attaquer à la création de palaces somptueux lorsque l’on a amassé suffisamment de ressources. Le jeu se distingue notamment par son graphisme cubique assez unique en son genre. Il existe un mode multijoueurs, mais vous n’aurez pas besoin de la moindre connexion Internet pour vous amuser en solitaire.

Télécharger pour Télécharger pour 6,99 € sur Google Play | Télécharger

Lien YouTube

 

La série Lifeline

Après un premier épisode acclamé par la critique et le grand public, Lifeline dispose maintenant de 8 opus. Le premier est évidemment un incontournable tandis que les autres sont plus dispensables. Dans tous les cas, le principe est le même : vous devez aider un héros ou une héroïne à aller au bout d’une aventure.

Le joueur incarne ici un mystérieux destinataire qui doit faire des choix pour le héros… Et attendre de longues minutes ou heures pour savoir si ces choix ne l’ont pas mené vers la mort. Un jeu textuel réservé à ceux qui aiment beaucoup lire.

Télécharger pour Télécharger pour 2,29 € sur Google Play | Télécharger

Lien YouTube

 

Enterre-moi, mon Amour

Presque dans le même style que Lifeline, Enterre-moi mon Amour est un jeu captivant où, par messages interposés, vous devez aider une jeune femme à fuir un pays en guerre pour rejoindre l’Europe. Son périple est éreintant et dangereux et vous devrez réussir à lui prodiguer les conseils les plus avisés pour la mener à bon port. Le jeu a prévu de multiples fins pour cette aventure. À vous de découvrir les conclusions les plus heureuses au fil de vos choix. Ce titre, en plus d’être très bien réalisé, a le mérite d’éveiller l’attention du public sur une problématique ô combien ancrée dans la réalité.

Télécharger pour Télécharger pour 3,49 € sur Google Play | Télécharger

Lien YouTube

Her Story

Un meurtre, une femme interrogée sept fois par la police et un moteur de recherche permettant d’afficher cinq vidéos où le mot recherché est prononcé. Difficile d’en dire plus au sujet de Her Story sans révéler certains morceaux de la très bonne intrigue imaginée par Sam Barlow.

Her Story
Sam Barlow

Télécharger pour Télécharger pour 5,49 € sur Google Play | Télécharger

Lien YouTube

La série Reigns

« Le roi est mort, vive la reine ! ». Reigns : Her Majesty est la suite de Reigns et aussi un jeu de cartes narratif qui vous met dans la peau d’un monarque. Chaque année, un dilemme s’impose à vous et de votre décision dépendra la vie et la prospérité de votre royaume, ou pourquoi pas… votre mort. Vous reviendrez rapidement glisser votre doigt à droite ou à gauche pour voir combien d’années vous pourrez tenir au pouvoir. Les deux titres de la série sont des réussites que l’on recommande autant l’un que l’autre.

Lien YouTube

Reigns
DevolverDigital

sur l'App Store | Télécharger Télécharger pour Télécharger pour 3,19 € sur Google Play | Télécharger

Reigns: Her Majesty
DevolverDigital

sur l'App Store | Télécharger Télécharger pour Télécharger pour 3,09 € sur Google Play | Télécharger

 

Thimbleweed Park

Avez-vous connu l’âge d’or des jeux d’aventure en Point&Click au début des années 1990 ? Ron Gilbert, scénariste de Day of the Tentacle ou The Secret of Monkey Island, a souhaité y revenir en créant Thimbleweed Park. Ce jeu reprend tout L’ADN des jeux de l’époque : contrôle de plusieurs personnages, dialogues loufoques, énigmes énigmatiques et un style graphique reconnaissable entre mille, le tout avec un humour bien présent et des références à la culture populaire à gogo.

Lien YouTube

Thimbleweed Park
Terrible Toybox, Inc.

sur l'App Store | Télécharger Télécharger pour Télécharger pour 9,99 € sur Google Play | Télécharger

 

Les jeux hors-ligne gratuits sur Android

Match Land

Match Land est un jeu de puzzle en match 3, une formule très connue sur mobile où il faut réunir au moins trois pièces de la même couleur sur un damier, mais y ajoute plusieurs règles pour rendre les choses un peu plus stratégiques et complexes. C’est un jeu gratuit, avec achats in-app, qui est très généreux avec le joueur et lui propose beaucoup d’activités. Son gameplay aux petits oignons et son style pixel adorable en ont fait l’un de nos coups de cœur.

sur l'App Store | Télécharger Télécharger pour Télécharger gratuitement sur Google Play | Télécharger

Lien YouTube

 

Red

Red. On ne parle pas ici de l’opérateur propulsé par SFR, mais d’un puzzle minimaliste où le but de chacun des 50 niveaux qui le composent est de faire en sorte que tout l’écran devienne rouge. Détail intéressant : chaque stage a sa propre logique. Si les premières étapes sont extrêmement simples, les mécanismes deviennent franchement complexes à appréhender au fur et à mesure que l’on évolue. Quand vous bloquez, vous pouvez consulter une astuce après avoir regardé une publicité (sauf si vous achetez la version Premium).

red
Bart Bonte

Télécharger pour Télécharger gratuitement sur Google Play | Télécharger

Lien YouTube

Alto’s Odyssey

Alto’s Odyssey est le successeur d’Alto’s Adventure. On y incarne un surfeur des sables qui se laisse glisser dans de superbes dunes sableuses. Vous avez des objectifs de points et de figures à remplir pour débloquer des personnages aux aptitudes diverses. Le jeu profite de graphismes aux couleurs superbes et d’une musique douce très reposante. Un jeu sans prétention qui fait parfaitement son office dans les longs trajets en métro. Le titre est gratuit, mais il faut débourser une poignée d’euros pour se débarrasser des publicités.

Télécharger pour Télécharger gratuitement sur Google Play | Télécharger

Lien YouTube

Kingdom Rush

La série Kingdom Rush est sans conteste la reine des Tower Defense sur mobile. Longtemps payant, le premier épisode de la série est devenu gratuit. Et si vous ne l’avez jamais fait, voici ce qui vous attend : un gameplay parfaitement équilibré, une difficulté progressive et des graphismes sublimes qui accompagnent une dizaine d’heures de jeu en campagne solo. Un classique. Notez l’existence de Kingdom Rush Frontiers et Origins qui sont les deux épisodes suivants de la série. Mais ils sont payants (0,59 et 3,19 euros).

Télécharger pour Télécharger gratuitement sur Google Play | Télécharger

Lien YouTube

 

Eternium

Le style hack’n’slash est sans doute l’un des plus satisfaisants du secteur vidéoludique. Massacrer plusieurs dizaines d’ennemis à tour de bras ou à grand renfort d’incantations a quelque chose de paradoxalement apaisant. Eternium n’échappe pas à la règle et propose de vivre une aventure de fantasy où vous devrez explorer des donjons, des forêts et des villages tout en améliorant votre personnage. Le jeu aux graphismes plutôt soignés qui peut se jouer gratuitement, mais des achats in-app vous inciteront évidemment à dépenser de l’argent pour débloquer des bonus.

Télécharger pour Télécharger gratuitement sur Google Play | Télécharger

Lien YouTube

Duet

Pas question de stratégie, de réflexion ou d’énigmes dans Duet, mais plutôt d’adresse et d’habileté. Dans Duet, le but est de faire parvenir deux boules rouge et bleue au bout de chaque niveau sans qu’aucune des deux ne percute un seul obstacle. Plus facile à dire qu’à faire tant certains niveaux sont infernaux. À réserver aux gens patients, mais si vous arrivez à dépasser cette barrière, vous deviendrez vite accro !

Duet
Kumobius

Télécharger pour Télécharger gratuitement sur Google Play | Télécharger

Lien YouTube

 

Hungry Cat Picross

Si vous avez déjà eu une DS ou une 3DS entre les mains, il y a de bonnes chances que vous soyez tombé amoureux de Picross. Jeu de logique par excellence, les Picross demandent de cocher des cases dans une grille en suivant les indices chiffres situés à l’extérieur de ladite grille. Les règles sont très simples à assimiler, mais demandent souvent une grosse dose de rigueur et de réflexion. Le genre d’application idéale pour un long trajet en transport. Ici, dans Hungry Cat Picross les cases sont colorées, ajoutant une nouvelle dimension aux simples numéros.

sur l'App Store | Télécharger Télécharger pour Télécharger gratuitement sur Google Play | Télécharger

 

Piano Tiles 2

Oubliez les jeux de réflexion ou de stratégie, Piano Tiles 2 va faire appel à votre adresse. Ce jeu de rythme est on ne peut plus simple dans le principe : évitez les touches blanches et n’appuyez que sur les touches noires. Suivre cette règle vous permet de devenir un virtuose du piano, ou presque. Un jeu gratuit et efficace pour passer le temps.

Piano Tiles 2
Cheetah Games

sur l'App Store | Télécharger Télécharger pour Télécharger gratuitement sur Google Play | Télécharger

Lien YouTube

 

Data Wing

Data Wing est un jeu de course vue du dessus reprenant un style néon très années 80. Simpliste à première vue, le jeu se révèle précis et addictif tout en étant totalement gratuit et bien plus profond qu’il n’y parait. Data Wing ne propose pas de mode multijoueurs, mais une campagne solo avec un scénario bien construit. Essayez-le, vous risquez d’être surpris !

Lien YouTube

Data Wing
Dan Vogt

sur l'App Store | Télécharger Télécharger pour Télécharger gratuitement sur Google Play | Télécharger

 

Les autres meilleurs jeux sur Android

Si vous ne trouvez pas votre bonheur dans ce classement des meilleurs jeux hors-ligne sur Android, il est possible qu’il se trouve dans nos autres sélections de jeux thématiques, ou dans nos sélections de jeux du mois.

Test de la Fossil Q Explorist HR (4e gen) : une belle montre très complète, mais à bout de souffle

$
0
0

Dévoilée en août 2018, la Fossil Q (Explorist HR) de 4e génération est passée entre nos mains (et sur nos poignets) pour un test complet. Cette montre connectée sous Wear OS reprend dans les grandes lignes les caractéristiques de la génération précédente, mais avec un GPS, du NFC pour le paiement sans contact et un cardiofréquencemètre. Est-ce le changement que l’on attendait ?

La Fossil Q (4e gen) se décline en deux modèles : la Fossil Q Venture HR et la Fossil Q Explorist HR. Nous avons testé ici la version Explorist, mais la version Venture est quasi identique. Les principales différences sont d’ordre esthétique. Ce modèle est néanmoins un peu plus grand (45 mm contre 40 mm pour la Venture), ce qui peut avoir un impact sur l’autonomie.

Fiche technique

Modèle Fossil Q Explorist Fossil Q Venture
Taille de l'écran 1,4 pouces 1,4 pouces
Technologie d'affichage sAMOLED sAMOLED
Protection de l'écran Gorilla Glass 3 Gorilla Glass 3
Définition de l'écran 400 x 400 pixels 400 x 400 pixels
Format écran Circulaire Circulaire
Processeur Snapdragon Wear 2100 à 1,2GHz Snapdragon Wear 2100 à 1,2GHz
Mémoire RAM 512 Mo 512 Mo
GPS Oui Oui
Wifi Oui Oui
Batterie 360 mAh 360 mAh
Capteur de rythme cardiaque Non Non
Podomètre Oui Oui
Analyse du sommeil Non Non
Accéléromètre Oui Oui
Boussole Oui Oui
Capteur de lumière ambiante Oui Oui
Capteur de proximité Oui Oui
Rechargement Sans Fil Sans Fil
Résistance à l'eau 67 67
Prix 254€ 165€
Fiche produit | Test Fiche produit

Ce test a été réalisé avec une montre prêtée par Fossil.

Une véritable montre

Beaucoup de montres connectées, à commencer par l’Apple Watch, sont très connotées « geek ». Les modèles arrondis comme la Huawei Watch, la Moto 360 ou cette Fossil Q ressemblent bien plus aux tocantes que vous pourrez retrouver en bijouterie. Et la Fossil Q de 4e génération s’en rapproche vraiment beaucoup, ce qui la rend très agréable à l’œil.

Par ailleurs, la mode du borderless n’est pas valable uniquement pour les smartphones. Le pourtour de l’écran est ici beaucoup plus fin que sur la génération précédente, ce qui renforce son aspect « bijou ». Il est dommage néanmoins que la marge noire entre l’écran et la bordure même du cadran reste encore épaisse. On aimerait que cette belle surface de 45 mm soit entièrement remplie.

Le boitier en lui-même est en acier inoxydable et n’est pas trop gros (13 mm d’épaisseur). Sur son flanc droit se trouvent trois protubérances plutôt marquées : la couronne et deux boutons. Je reviendrai plus tard sur leur utilité, mais je les trouve personnellement un peu gros. C’est un style que l’on retrouve dans l’horlogerie traditionnelle et chacun se forgera donc son opinion à ce sujet.

La version que nous avons eu l’occasion de tester possède un bracelet en cuir, mais plusieurs choix sont possibles à l’achat, avec un bracelet en silicone par exemple pour les sportifs ou en acier pour ceux qui préfèrent. Précisons tout de même que le cuir n’est qu’un revêtement esthétique et que la peau est en contact direct avec du silicone, ce qui est plutôt judicieux pour éviter d’abîmer le bracelet lors des sessions d’entrainement. Enfin, il s’agit d’un bracelet standard qui peut être remplacé par n’importe quel bracelet avec un entre-cornes de 22 mm.

Bonne nouvelle par ailleurs, la Q Explorist HR est étanche jusqu’à 3 ATM. Le site indique qu’il est possible de se laver les mains, de prendre sa douche ou de sauter dans une piscine sans problème. Évitez tout de même les baignades trop longues.

L’écran est un AMOLED de 1,4″ (1,19″ pour la version Venture) d’une définition de 454 x 454 px. Sa luminosité est très bonne et il suffit de laisser le réglage en automatique pour trouver son bonheur, même en plein soleil en extérieur. Aucun problème à ce niveau donc.

Tous les capteurs sont là

La Fossil Q tourne sous Wear OS 1.5 (anciennement Android Wear). Il s’agit d’une version reposant sur la plateforme Android 8.0 et disposant du patch de sécurité du 5 août 2018. Elle est donc plutôt à jour.

Wear OS n’a malheureusement jamais trouvé son équilibre parfait et tâtonne encore sur de nombreux points, ce qui rend le système assez peu ergonomique. Fossil a eu la bonne idée de proposer une couronne rotative, comme sur l’Apple Watch, ce qui permet de naviguer dans le système même avec les mains mouillées. Malheureusement, aucun des deux boutons ne permet cependant de valider un choix ou de revenir en arrière. Il faudra donc forcément passer par l’interface tactile pour ces actions pourtant basiques. C’est d’autant plus dommage qu’il est possible de personnaliser l’action de ces deux boutons en leur attribuant un raccourci vers une application donnée. Lors de mon expérience, ils se sont finalement montrés plus gênants qu’autre chose.

NFC

L’une des nouveautés de cette 4e génération de Fossil Q est la présence de NFC. Aux États-Unis, c’est une fonction essentiellement pensée pour le paiement sans contact. Malheureusement, malgré la présence de Google Pay sur mon téléphone, l’application est impossible à installer sur la montre. Pour payer d’un coup de poignet, il faudra donc repasser.

Cardiofréquencemètre et GPS

La Fossil Q (4e gen) gagne également un capteur de rythme cardiaque et un GPS, ce qui devrait ravir les sportifs qui souhaitent partir s’entraîner sans forcément prendre leur téléphone avec eux. Dans les faits, le capteur cardiaque est cohérent et affiche des résultats sensiblement similaires à ceux donnés par le cardiofréquencemètre d’une Apple Watch 4 (pas l’électrocardiogramme, qui n’est pas encore disponible en France).

Pour le GPS, il est également très précis, ce qui est pratique pour vos sessions de running. Il retrouvera votre trajet sans grand problème.

Wear OS, un système encore incomplet et peu ergonomique

Non, le problème ne vient pas spécialement de la partie hardware, ou en tout cas pas des différents capteurs qui équipent la Fossil Q (4th gen). Le problème vient de Wear OS, encore mal pensé et peu suivi par les développeurs.

La Fossil Q ayant tout ce qu’il faut pour être entièrement autonome, j’ai souhaité par exemple aller courir sans mon téléphone. Je télécharge donc sur la montre mes applications (Runtastic, Google Fit et Pocket Casts). Tout allait bien jusqu’à ce que je me rende compte que Google Casts ne propose pas de télécharger ses podcasts sur la mémoire de la montre.

Je décide donc d’écouter de la musique et cherche YouTube Musique. Dommage que cette application, pourtant développée par Google, ne soit pas disponible sur Wear OS. Obligé donc de passer par Play Musique, sur lequel je ne retrouve pas mes dernières playlists. Et c’est toujours comme ça, quand ce n’est pas directement l’ergonomie du système qui est handicapante.

Notons également que la Fossil Q embarque un SoC Snapdragon 2100. La même puce que celle de l’année dernière, reposant sur une architecture vieille de 2014. Clairement, elle n’est pas à la hauteur et il arrive souvent que la fluidité de navigation en souffre. Bugs, ralentissements… Les problèmes s’enchaînent et il m’est même arrivé de subir un freeze complet. Un peu dommage pour une simple montre connectée.

On retrouve sinon les fonctionnalités habituelles, comme ses notifications, les alertes, la possibilité de répondre facilement aux messages, le contrôle de la musique et bien sûr… l’heure. C’est une montre après tout !

Une batterie faiblarde

Ma première journée avec la Fossil Q 4 a été courte. Très courte. Je ne saurais pas dire pourquoi, mais la batterie fondait à vue d’œil et la montre n’a pas tenu 6 heures complètes. Il s’agissait possiblement d’une mise à jour d’application qui a bugué et qui tournait en boucle en tâche de fond.

Les jours suivants, le problème a disparu, mais ma meilleure journée s’est terminée avec 20 % de batterie en ayant débranché la montre vers 11 h 30. Autant dire qu’il est obligatoire de recharger la Fossil Q tous les jours, et le week-end où j’ai par malheur oublié le chargeur à la rédaction s’est déroulé sans montre au poignet pour moi.

Il est obligatoire de recharger la Fossil Q tous les jours

Heureusement, la charge n’est pas trop longue. Fossil annonce 1 heure pour une charge complète. Dans les faits, c’est à peine plus (comptez 1 h 10 environ). Notez tout de même que si le chargeur USB propriétaire est bien fourni (un socle aimanté à coller au dos de la montre), le bloc secteur ne l’est pas. Il faudra donc s’en procurer par ailleurs.

Notons également que le câble mesure 90 cm. Avec une multiprise au pied de mon bureau, la montre devait donc charger sur le bord de celui-ci, prête à tomber au moindre choc.

Prix et disponibilité

La Fossil Q (4e gen) est d’ores et déjà disponible à partir de 299 euros. Il est cependant possible de la trouver un peu moins chère chez certains revendeurs. Sur Amazon par exemple, on la trouve à environ 265 euros.

Où acheter le Fossil Q Explorist au meilleur prix ?

Où acheter le Fossil Q Venture au meilleur prix ?

Ses principales concurrentes sont la Huawei Watch 2, la Samsung Gear S3 et bien sûr l’Apple Watch 4 pour les détenteurs d’iPhone.

Sondage de la semaine : que pensez-vous de la multiplication des capteurs photo sur mobile ?

$
0
0

Cette semaine, le Galaxy A7 2018 a été annoncé avec trois capteurs photo arrière, au même titre que le Huawei Mate 20 très présent dans l’actu. Une bonne nouvelle ?

Cette semaine, Samsung nous a présenté son nouveau smartphone milieu de gamme : le Samsung Galaxy A7 (2018), qui a la particularité de posséder un module photo à trois capteurs. Après le Huawei P20 Pro, il semble que cette configuration gagne en popularité dans le milieu.

Tandis que le Huawei Mate 20 Pro fait parler de lui en attendant sa présentation officielle, et que le Nokia 9 est attendu avec 5 capteurs différents, nous vous posons la question : comment accueillez-vous la multiplication des capteurs sur mobile ?

Chargement

Que pensez-vous de la multiplication des capteurs photo sur mobile ?

Merci d'avoir voté.
Vous avez déjà voté pour ce sondage.
Sélectionnez une réponse s'il vous plait.

Le module de sondage pouvant poser problème sur l’application FrAndroid, nous vous invitons à voter depuis un navigateur web.

La pire chose chez Apple, c’est Apple

La semaine passée, nous vous demandions ce qu’était la pire chose survenue lors de la conférence Apple Event de fin d’année, où les iPhone XS, XS Max et XR ont été dévoilés. Notre but était d’avoir votre vision sur le grand concurrent d’Android, et 1942 votants sont venus assouvir notre curiosité.

La majorité des votants (33,9%) ont décidé que l’écran LCD de l’iPhone XR, qui ne profite que d’une résolution de 326ppp, était définitivement la pire chose de l’Apple Event 2018.

Nous sommes tout de même un site Android, et c’est pourquoi le second choix est le plus logique et vient du cœur : 28,7% d’entre vous regrettent qu’Android 9.0 Pie ne soit pas disponible sur ces nouveaux produits. Nous sommes avec vous.

Dans les petits détails évoqués succinctement par Apple, on notera que le chargeur 5W a majoritairement retenu l’attention (19,2%), suivi par la suppression de l’adaptateur jack (9,7%), le AirPower mis discrètement sous le tapis (5,7%) et enfin aucune annonce pour une nouvelle version des AirPods (2,8%).

Test du Google Home Max : la puissance a un prix, et il est élevé

$
0
0

Près d’un an après son annonce en octobre 2017, le Google Home Max est enfin disponible dans nos contrées. Il s’agit de la troisième enceinte made by Google équipée directement de son système Google Assistant. Mais que vaut-elle à l’usage ? On vous dit tout sur cette nouvelle enceinte.

Alors qu’Apple s’est lancé à son tour sur le marché des enceintes connectées avec son HomePod, Google a bien dû réagir. Pour ce faire, la firme de Mountain View a lancé une nouvelle version de son Google Home. Sobrement baptisée Max, après la Mini, elle a pour ambition de lutter sur le même terrain que le HomePod, à savoir la qualité audio.

Sur les fonctionnalités, le Google Home Max reprend exactement les mêmes usages que les Home et Home Mini. Dès lors, nous vous invitons à vous retourner vers le test du Google Home pour en savoir plus sur la pertinence de Google Assistant et son usage pour lancer de la musique, écouter des flash info, accéder aux services d’éditeurs tiers, allumer vos ampoules connectées ou lancer une série sur Netflix via un ChromeCast. Nous nous attarderons ici sur les deux principales nouveautés apportées par le Home Max, à savoir son design et sa qualité audio.

À lire sur FrAndroid : Test du Google Home en français : Google Assistant à portée de voix

Un format massif

Le Google Home Max n’est pas une enceinte nomade, et pas uniquement pour des raisons de connectiques. L’appareil de Google porte en effet bien son nom et propose un format très imposant avec 33 cm de largeur pour 19 cm de hauteur de 15 cm de profondeur, l’ensemble pour plus de cinq kilogrammes sur la balance. C’est dix fois plus que le Google Home classique, avec son poids plume de 477 grammes.

Pour les interactions, le Google Home Max reprend le même système que le premier Google Home. Ainsi, il est bien évidemment possible de la commander à la voix, mais également au toucher. Pratique par exemple lorsque le volume sonore est trop élevé et que l’enceinte ne parvient pas à distinguer notre voix de la musique en cours de lecture. Sur le haut de l’enceinte, lorsqu’elle est posée à l’horizontale, on retrouve ainsi une légère surface tactile marquée par un trait gris.

En appuyant une fois sur celle-ci, on peut alors mettre le morceau en pause ou le relancer. En glissant son doigt vers la droite, le volume de l’enceinte augmente et il diminue lorsqu’on le glisse vers la gauche. Quatre LEDs viennent alors s’allumer en façade pour donner une estimation du volume sonore. Dommage néanmoins de ne pas pouvoir utiliser les contrôles tactiles de l’enceinte pour passer au morceau suivant ou revenir au titre précédent.

Avantage de ce Home Max, il est possible de la positionner à la verticale. Le son, stéréo de base, passe alors en mono et la barre de quatre LEDs s’adapte à la nouvelle position en restant à l’horizontale. Équipé de capteurs d’orientation, le Google Home Max est donc capable de détecter lorsqu’il est posé à la verticale ou à l’horizontale, mais également lorsqu’il est positionné à l’envers. « Au fait, Google Home est à l’envers, il fonctionnera mieux si vous le remettez à l’endroit », prévient alors l’enceinte. Elle permet cependant de continuer à l’utiliser dans ce sens si vous voulez coller le côté droit contre un mur tout en ayant accès aux contrôles tactile de l’enceinte à la verticale.

Du côté des connectiques et des boutons, tous se situent à l’arrière de l’enceinte. On retrouve par exemple un slider au centre qui va permettre d’activer ou de désactiver le microphone. En glissant le bouton vers la droite, une surface rouge apparaît, signifiant que le micro est éteint. Un bon moyen de conserver l’intégrité de sa vie privée, si tant est que ce soit pertinent alors que l’on a une enceinte Google Home chez soi.

Enfin, en bas à gauche, on va retrouver la prise d’alimentation. Il ne s’agit pas d’une connectique USB, mais d’un simple câble bipolaire standard au format C7/C8. Le Google Home Max profite cependant bel et bien d’une prise USB-C, mais elle ne sert qu’à connecter l’enceinte à Internet en version filaire à l’aide d’un adaptateur USB vers Ethernet. Dommage, on aurait apprécié pouvoir l’utiliser afin de recharger un smartphone, comme source d’alimentation. Enfin, c’est également ici que l’on va retrouver une entrée audio mini jack 3,5 mm pour connecter une source filaire, ainsi que la touche de réinitialisation de l’enceinte.

Un son puissant, mais trop imprécis

Le format massif du Google Home s’explique surtout par des considérations physiques. C’est bien simple, plus une enceinte sera imposante, plus les hauts-parleurs pourront être grands et produire ainsi un son à volume élevé.

Et de ce côté là, le Google Home Max ne déçoit pas. L’enceinte peut monter jusqu’à un volume sonore que nous avons mesuré à 96 db à volume maximal, soit un volume proche de celui d’une tronçonneuse ou d’un marteau-piqueur. Et pourtant, malgré ce volume particulièrement élevé, l’enceinte s’en sort particulièrement bien pour la distorsion. Elle reproduit efficacement toutes les fréquences et à l’oreille, aucun son, ni dans les aigus ni dans les basses, ne paraît particulièrement altéré.

Pourtant, le Google Home Max est loin d’être exempt de reproches concernant la qualité sonore. Si l’on apprécie la fidélité du son et la capacité de l’enceinte à monter sans difficulté à volume maximale, on regrette cependant son manque de précision. Il est en effet particulièrement difficile de distinguer différentes voix sur des titres complexes, et le son paraît comme compressé, même en écoutant un MP3 encodé en 320 kbps, une qualité pourtant bonne.

Il en va de même concernant la spatialisation, ou plutôt le manque de spatialisation. On apprécie que Google ait proposé un total de quatre haut-parleurs avec de la stéréo pour les basses comme pour les aigus et médiums, mais à plus d’un mètre de distance, il devient très difficile de déceler les différences entre ces deux voix. Un défaut plutôt récurent pour une enceinte monobloc, mais qui aurait pu être corrigé avec un autre format, plus rond, comme c’est le cas des enceintes Ultimate Ears par exemple. Quitte à payer 400 euros, autant profiter d’un véritable son stéréo avec une minichaîne Hi-Fi et deux enceintes.

Enfin, concernant la signature sonore du Google Home Max, on apprécie la neutralité du son. Ceux préférant un son plus typé, que ce soit dans les basses ou les aigus, pourront profiter de l’égaliseur intégré directement à l’application Google Home sur smartphone. Elle permet en effet d’augmenter les graves ou les aigus jusqu’à 6 db. On aurait apprécié un égaliseur plus précis, avec au moins cinq bandes, mais on apprécie tout de même que Google propose ce type d’option.

Télécharger pour Télécharger gratuitement sur Google Play | Télécharger

Disponibilité et prix

Le Google Home Max s’affiche à 399 euros sur le Google Store, mais également chez la Fnac, Boulanger ou Darty. Il est disponible en deux coloris : gris galet ou noir charbon.

A ce tarif, l’enceinte de Google fait surtout face au HomePod d’Apple, commercialisé à 349 euros ou à la MegaBlast d’Ultimate Ears, équipée d’Amazon Alexa.

Galerie photo

 

Un rapport qualité-prix trop faible

🔥 Bon plan : le casque Sony WH-1000XM3 à 292 euros au lieu de 380

$
0
0

Dévoilé début septembre et vendu initialement environ 380 euros, voici le Sony WH-1000XM3 à moins de 300 euros.

Nous avons pu l’approcher lors de l’IFA 2018, le Sony WH-1000X est un des casques anti-bruit de référence, aux côtés du Bose QC35. Sur les très solides bases du WH-1000XM2, Sony a apporté quelques modifications au Mark 3. Sur cette troisième édition, Sony a amélioré le confort, le rembourrage est désormais plus épais, et les oreillettes sont un peu plus larges et plus profondes. En réduction de bruit, ce Mark III est un des meilleurs : avec la puce HD QN1, le système à réduction de bruit est encore plus puissant et plus efficace que le Mark II.

À lire sur FrAndroid : Sony WH-1000XM3 : nous l’avons essayé et comparé au Bose QC35 II

Pourquoi recommande-t-on ce smartphone ?

  • Solide et confortable
  • Réduction de bruit très efficace
  • Une référence sur le marché

Vendu initialement à 380 euros, le bon plan Sony WH-1000XM3 est à 282 euros. C’est le prix de vente actuel du Mark II sur Amazon France. Pour information, le modèle propose est un produit neuf que l’on retrouve sur eBay dans deux coloris, il provient du marché gris. Cela signifie que le casque n’est pas vendu directement sur le marché français, c’est un produit initialement prévu pour le marché espagnol. La garantie est d’un an et le vendeur accepte des retours jusqu’à 14 jours après la réception. Enfin, nous vous conseillons de passer par PayPal, ce moyen de paiement vous garantira la bonne réception de votre produit ou son remboursement dans le cas contraire.

Retrouvez le Sony WH-1000XM3 en noir sur eBay

Retrouvez le Sony WH-1000XM3 en gris sur eBay

Notre guide d’achat des meilleurs casques à réduction de bruit active de 2018

À lire sur FrAndroid : Quels sont les meilleurs casques à réduction de bruit active en 2018 ? Notre sélection

🔥 Bon plan : le Xiaomi Mi 8 à 345 euros au lieu de 499 euros

$
0
0

Le Xiaomi Mi 8 en version internationale à partir de 345 euros environ au lieu de 499 euros.

Le Xiaomi Mi 8 est l’un des plus récents smartphones du constructeur chinois. Celui-ci est plus qu’attirant puisqu’il est équipé du dernier Snapdragon 845 couplé à 6 Go de RAM, soit l’une des meilleures configurations disponibles en cette fin d’année. Xiaomi propose une dalle AMOLED de 6,21 pouces au ratio 18,7:9 avec une définition de 2 248 x 1 080 pixels. Du côté de la photographie, la coque du terminal accueille, à côté du capteur d’empreintes dorsal, un double module photo composé de deux capteurs de 12 mégapixels. Le second permettant d’offrir un zoom optique x2. À l’avant, le simple module embarque un capteur de 20 mégapixels avec des photosites de 1,8 µm.

À lire sur FrAndroid : Test du Xiaomi Mi 8 : le smartphone sans gros défauts

Le téléphone est normalement vendu à 499 euros en moyenne. Toutefois, vous pouvez trouver sa version française sur le site GearBest à environ 345 euros avec le code GBMPMI864.

Retrouvez le Xiaomi Mi 8 en version 64 Go à 345 euros - Code promo : GBMPMI864

Retrouvez le Xiaomi Mi 8 en version 128 Go à 362 euros - Code promo : GBMPMI8128

Notez que ces deux produits proviennent du marché gris. Ils ne sont pas destinés initialement au marché français, néanmoins ils sont 100 % compatibles avec le réseau 4G français et il intègre la langue française dans le système, ce sont des versions internationales du modèle. Enfin, sachez que GearBest promet 1 an de garantie, contre 2 ans si vous achetez votre Mi 8 en France. 

3 actualités qui ont marqué la semaine : Galaxy A7 officialisé, image du OnePlus 6T et Free VS Orange

$
0
0

Bien que le lancement des iPhone XS et XS Max soit là, la semaine n’a pas manqué d’actus intéressantes pour la sphère Android. Samsung a officialisé le nouveau Galaxy A7, une première image du OnePlus 6T nous est parvenu et Orange s’est encore accroché avec Free.

Samsung Galaxy A7 : le smartphone « 4x fun » avec trois appareils photo au dos est officiel

Samsung n’a pas fait durer le suspens plus longtemps, et a officialisé le Samsung Galaxy A7 (2018). Un smartphone qui sera aussi présenté le 11 octobre.

Le OnePlus 6T apparaît pour la première fois en image de source fiable

Le OnePlus 6T a été confirmé pour une sortie prochaine directement par son constructeur. Aujourd’hui, Roland Quandt nous offre la première image de l’appareil.

« Attention chérie, ça va couper » : altercation entre Orange et Free pour publicité trompeuse

Free a profité de l’annonce de la fin des installations de lignes téléphoniques classiques pour faire sa publicité, ce qui n’a pas plu à Orange qui l’a rapidement repris.

À lire sur FrAndroid : Android 9 Pie : voici un premier aperçu de la mise à jour sur Samsung Galaxy S9 et S9+


Samsung Galaxy Note 9 : 8 trucs et astuces pour bien le maîtriser

$
0
0

Vous venez d’acheter le Samsung Galaxy Note 9 ou vous comptez vous en procurer un ? Voici quelques astuces à connaître pour bien maîtriser votre smartphone.

Le Samsung Galaxy Note 9 est un concentré de technologies haut de gamme qui le rendent très agréable à utiliser. Malgré son prix de lancement à quatre chiffres, il est certain que bon nombre de personnes vont se laisser tenter par la bête. Pour ces derniers, nous voulions soumettre ces quelques trucs et astuces bien pratiques pour apprendre à bien maîtriser les petites spécificités de ce téléphone.

Notez que plusieurs d’entre elles sont intrinsèquement liées au stylet S Pen. Toutes sont très simples à utiliser et peuvent se révéler pratiques en fonction des situations auxquelles vous êtes confrontées.

Lien YouTube

Astuces générales

Désactiver le bouton Bixby

Commençons tout de suite par la question qui fâche : le bouton Bixby sur la tranche gauche du téléphone. D’une part, il est courant de le confondre avec la touche de déverrouillage positionné sur l’arrête opposée. D’autre part, au moment où nous publions ce papier, l’assistant intelligent de Samsung n’est toujours pas capable de comprendre la langue française.

Par ailleurs, même quand Bixby étendra son répertoire d’idiomes, d’aucuns préféreront sans doute s’en passer ou opter pour d’autres solutions comme Google Assistant. Ce bouton a donc de quoi agacer. Pour y remédier, sachez que vous pouvez télécharger l’application BxActions.

Cette application non officielle, mais très populaire, permet de réattribuer le rôle du bouton Bixby. Vous pouvez ainsi faire en sorte qu’un appui dessus permette d’activer le mode silencieux, allumer la lampe torche ou lancer une application ou un raccourci d’application de votre choix. Il est aussi possible de désactiver la touche purement et simplement pour avoir l’esprit tranquille.

L’application est gratuite, mais il faut payer son créateur pour avoir accès à des personnalisations supplémentaires (double appui ou appui depuis l’écran verrouillé). Certaines configurations sont encore bloquées par Samsung, mais le constructeur a promis qu’il permettrait plus de flexibilité bientôt.

Télécharger pour Télécharger gratuitement sur Google Play | Télécharger

Modifier la définition de l’écran

L’écran AMOLED du Samsung Galaxy Note 9 est superbe et d’aucuns souhaitent en profiter à fond. Pour cela, vous pouvez pousser la définition au maximum, soit en WQHD+ (2960 x 1440 pixels), en vous rendant dans les paramètres d’affichage et en cliquant sur l’onglet « Résolution d’écran ».

Une jauge s’affiche alors pour déterminer la définition d’affichage que vous souhaitez. Le Full HD+ (2220 x 1080 pixels) permet de profiter d’une bonne qualité sans trop attaquer l’autonomie. Enfin, si vous commencez à vous rapprocher dangereusement du 0 % de batterie, vous pouvez sélectionner le mode HD+ (1480 x 720 pixels) pour tenir plus longtemps avant de trouver une prise salvatrice.

Changer le son d’un média plus facilement

Le changement de volume peut poser problème sur Android, en dessous de la version 9.0 Pie. En effet, quand on appuie sur les touches dédiées, l’OS change le volume de la sonnerie. C’est le paramètre par défaut. Ainsi si vous voulez profiter d’une vidéo confortablement, vous ne pouvez modifier l’intensité sonore que lorsque la lecture de celle-ci a débuté et c’est souvent frustrant.

Pas d’inquiétude ! Sur le Samsung Galaxy Note 9, vous pouvez faire en sorte que la modification du volume s’applique par défaut aux médias. Pour cela, appuyer simplement sur la touche Augmenter ou Diminuer le son. La jauge classique va s’afficher en haut de l’écran du téléphone. Faites dérouler cette barre par un glissement du doigt ou en appuyant sur la flèche pointant vers le bas.

Vous verrez alors apparaître l’option « Utiliser touches +/- pour media ». Cochez-la et le tour est joué !

Protéger vos fichiers

Samsung propose sur ses smartphones une application appelée « Dossier sécurisé ». Celle-ci permet de ranger des fichiers et des apps que vous ne voulez pas mettre à disposition des personnes ayant éventuellement accès à votre Galaxy Note 9. Dans les faits, cette option s’apparente à un téléphone dans le téléphone.

En effet, tous les éléments que vous rangerez dans ce dossier ne seront consultables qu’après identification via le scanner d’iris, le lecteur d’empreintes ou un schéma / code que vous aurez définis (n’utilisez évidemment pas le même que celui qui déverrouille le smartphone).

Pour en profiter, il vous faudra créer un compte Samsung. Bon à savoir : les photos et captures d’écran que vous réaliserez après avoir ouvert le dossier sécurisé ne seront consultables que depuis celui-ci et pas sur l’application Galerie classique.

Astuces avec le stylet S Pen

Prendre des notes sur l’écran de veille (Always on Display)

Depuis des lustres, les appareils Samsung proposent l’option Always on Display. Le principe est d’afficher l’heure et les notifications sur l’écran quand celui-ci est éteint sans trop impacter la batterie puisque les pixels noirs ne consomment rien sur la dalle AMOLED.

Pour les têtes en l’air, il est possible de prendre des notes au stylet sur cet écran de veille. Rien de plus simple : lorsque l’Always On Display est affiché, sortez le S Pen et vous n’avez plus qu’à écrire vos penses-bêtes sur le téléphone. Une fois que vous avez terminé, pensez à épingler la note en appuyant sur le bouton dédié en haut à gauche. Ainsi, elle peut s’afficher quand le téléphone est verrouillé.

Au bout de 30 minutes, la note ne sera plus affichée en grand sur l’écran de veille. Pour la faire réapparaître, il faut faire un double appui sur l’icône d’une punaise accompagnée d’un papier (en dessous de l’heure). Par ailleurs, toutes les choses que vous écrivez ainsi sont stockées dans l’application Samsung Note.

Utiliser le stylet S Pen comme une télécommande

Le bouton du stylet S Pen permet de réaliser plusieurs actions sans avoir à toucher l’écran, comme s’il s’agissait d’une télécommande. Sur une vidéo, le bouton fait office de bouton play/pause. Pour une présentation de type PowerPoint, il permet de passer d’une diapo à l’autre. Dans les deux cas, cela peut se révéler vraiment pratique lorsque vous branchez le téléphone à un écran.

Autre option intéressante : vous pouvez aussi prendre une photo avec le stylet. La plupart du temps, vous ne vous en servirez sans doute pas. Mais qui sait ? Lors d’une photo de groupe où vous avez l’occasion de poser votre Galaxy Note 9 sur un trépied — ou de le faire tenir à la verticale d’une manière ou d’une autre –, vous n’aurez pas besoin de minuteur avant de déclencher la prise de vue.

En parlant de l’appareil photo, sachez qu’un double appui sur le bouton de déverrouillage à droite du smartphone permet d’y accéder rapidement. C’est toujours bon à savoir.

Traduction et capture d’écran

Quand vous sortez le stylet de son carcan, un bouton contextuel s’affiche sur le côté droit de l’écran. En appuyant dessus, vous avez accès à diverses options, dont deux particulièrement utiles. La première, c’est la sélection intelligente qui permet, entre autres, de réaliser un screenshot d’une petite partie de l’écran au lieu d’avoir à immortaliser toute la zone d’affichage et ensuite seulement rogner la portion qui vous intéresse. Vous pouvez d’ailleurs choisir de définir une zone de sélection rectangulaire, ovale ou totalement tracée à la main.

L’option de traduction est aussi bien pratique. Une fois celle-ci sélectionnée, vous n’avez qu’à positionner la pointe du stylet à quelques millimètres de l’écran (sans le toucher) au-dessus du mot que vous voulez traduire. Une petite barre en haut s’affiche pour permettre de changer les langues souhaitées. Dans cette même barre, vous verrez, à gauche, une icône. Si elle a la forme d’un « T », cela veut dire que le Galaxy Note 9 va sélectionner un seul mot, si elle affiche une bulle avec trois lignes vous pourrez traduire toute une phrase d’un coup.

Lancer deux applications en même temps

La gamme Note de Samsung propose une fonctionnalité appelée « Paire d’applis ». Le nom est assez explicite : cette dernière propose en effet de configurer un raccourci permettant d’ouvrir deux applications en même temps en scindant l’écran en deux. Pour y accéder, il faut que vous fassiez glisser votre doigt du bord droit de l’écran vers le centre. Ce geste ouvre le panneau des « applications favorites ».

Vous y verrez quelques raccourcis déjà créés — mais supprimable — et des emplacements vides que vous êtes libre de combler. Appuyez sur l’un d’entre eux ou sur le bouton « Modifier ». Vous ouvrirez ainsi un menu vous proposant soit d’incorporer de nouveaux raccourcis dans le panneau des applications favorites, soit de créer une nouvelle paire.

Sur les captures d’écran ci-dessous, vous pouvez voir la création de la paire Gmail/Google Agenda.

Une fois que cela a été fait, je n’ai plus qu’à ouvrir le panneau latéral et appuyer sur le bouton fraîchement créé pour que Gmail et Google Agenda s’ouvrent l’une au-dessus de l’autre en se partageant l’écran à parts égales.

À lire sur FrAndroid : Test du Samsung Galaxy Note 9 : l’excellence a un prix

Les meilleurs smartphones Android à acheter en 2018 : la sélection de FrAndroid

$
0
0

Si vous cherchez un nouveau smartphone, vous vous êtes sûrement posé la question « quel est le meilleur téléphone que je puisse acheter avec mon budget ? ». Voici donc les meilleurs smartphones Android 4G que vous puissiez obtenir en ce moment en fonction des différentes tranches de prix.

guidedachat_smartphone

 

Les meilleurs smartphones Android

Vous recherchez le meilleur, seulement le meilleur ? Voici le top des smartphones Android du moment.

Samsung Galaxy Note 9

Le Galaxy Note 9 reprend dans les grandes lignes ce que Samsung proposait en début d’année avec le Galaxy S9+. Il en profite néanmoins pour corriger ses quelques lacunes et propose une meilleure ergonomie, une qualité photo supérieure et surtout l’intégration du S Pen, le fameux stylet de la marque qui est devenu Bluetooth sur cette génération afin de servir de télécommande. Beau, puissant, autonome, unique et excellent en photo… le Galaxy Note 9 frôle la perfection, à condition d’y mettre le prix bien sûr.

Huawei P20 Pro

Le Huawei P20 Pro est le premier smartphone à disposer d’une configuration à triple capteur dorsal pour son appareil photo. Une configuration qui s’est faite remarquer pour la qualité des clichés qu’elle est capable d’offrir, particulièrement dans la nuit où les autres smartphones s’effacent très vite. Notre test du Huawei P20 Pro nous a également montré qu’il savait encaisser les tâches lourdes tout en offrant une excellente autonomie grâce à sa large batterie de 4000 mAh.

Samsung Galaxy S9 Plus

Tout comme le Galaxy S9, le S9 Plus séduit par son design, son superbe écran, ses excellentes performances et bien sûr la qualité de ses photos. En plus du capteur dorsal du Galaxy S9 qui a la particularité de proposer une double ouverture mécanique, le Galaxy S9 Plus propose un second capteur dorsal de 12 mégapixels s’ouvrant à f/2.4. De quoi prendre de beaux clichés en macro et de belles photos malgré un environnement avec une faible luminosité.

Les meilleurs smartphones de taille moyenne

Vous avez envie d’acquérir l’un des meilleurs smartphones du moment, mais vous avez peur des très grands écrans ? Voici notre sélection.

Huawei P20

Le Huawei P20 a beau n’être équipé « que » d’un double capteur photo arrière, son appareil photo est loin d’être décevant et se place parmi les meilleurs du marché selon DxOMark. Rajoutez à cela un design efficace, plus petit que le modèle Pro mais tout aussi bien fini, et vous avez un compagnon de choix pour votre quotidien. Son SoC Kirin 970 couplé à 4 Go de RAM ne risquera pas de vous décevoir, en attendant une nouvelle génération en fin d’année.

Samsung Galaxy S9

Le Galaxy S9 impressionne dès le premier coup d’œil grâce à ses magnifiques finitions et son superbe écran AMOLED qui n’a rien à envier à ceux des autres smartphones. Il se distingue également grâce à ses performances boostées par le dernier SoC proposé par Samsung, l’Exynos 9810 et avec son très bon capteur photo dorsal qui peut s’ouvrir manuellement à f/1.5 ou f/2.4.

Les meilleurs flagships à prix cassés

Les fameux flagships killer, ces smartphones aux grosses caractéristiques, mais dont le prix n’atteint pas ceux des porte-étendards classiques.

OnePlus 6

Digne héritier d’une longue lignée de smartphone avec un rapport qualité/prix excellent, le OnePlus 6 a tout pour plaire. Il est sans aucun doute l’un des smartphones les plus performants de 2018 grâce à son SoC Snapdragon 845 et aux optimisations apportées par OxygenOS, l’interface maison de OnePlus qui se rapproche d’Android Pure. C’est une solution à étudier avant d’investir sur un smartphone plus cher.

Xiaomi Mi 8

Le Xiaomi Mi 8, le dernier flagship de la marque chinoise, propose une expérience très complète sans gros défaut. Bon en photographie, équipé d’un superbe écran AMOLED, performant grâce à son SoC Snapdragon 845 le tout avec un design fin et élégant, Xiaomi livre l’une de ses plus belles réussites de 2018 avec le Mi 8.

Xiaomi Mi Mix 2S

Le Xiaomi Mi Mix 2s transforme l’essai de la gamme Mix en réussite. Performant grâce à son SoC Qualcomm 845, autonome grâce à sa batterie de 3400 mAh et à ses optimisations logicielles efficaces, et proposant une excellente solution en photo (même s’il peine un peu en basse lumière), le Xiaomi Mi Mix 2s est l’un des meilleurs smartphones disponibles sur cette gamme de prix pour ceux qui ont envie d’avoir un écran sans encoche.

Pocophone F1

Le Pocophone F1 offre la puissance d’un Snapdragon 845 et une énorme autonomie. Il vaut donc clairement que l’on s’intéresse à lui. Toutefois, notons que pour proposer un tarif aussi séduisant, il a été obligé de faire quelques concessions. Sur son design notamment, puisqu’il ne revêt aucun matériau noble et se contente d’un dos en plastique, mais pour certains il ne s’agit pas d’un défaut puisque les rayures et la fragilité ne sont pas un problème. La qualité photo de l’appareil laisse également à désirer dans certaines conditions.

 

Les meilleurs rapports qualité/prix abordables

Si vous recherchez à obtenir le smartphone avec le meilleur rapport qualité/prix possible, voici ceux que nous pouvons vous recommander.

Xiaomi Mi A2

Après le Mi A1 en 2017, Xiaomi réitère son partenariat avec Google en proposant un nouveau smartphone sous Android One. Il propose donc une expérience épurée et simple, tout en affichant une fiche technique clairement au-dessus de ce qui se fait au même prix.

Avec son Snapdragon 660 et ses 4 Go de RAM, c’est l’un des smartphones les plus performants de sa catégorie, mais il ne délaisse pas pour autant les autres points. Son écran de 5,99 pouces est très correct si l’on fait abstraction de ses problèmes de luminosité automatique et son appareil photo est de très bonne facture de jour. Dommage qu’il soit limité en basse lumière.

Nokia 7 Plus

Au côté du Nokia 6.1 se tient le Nokia 7 Plus, version grand format de la même qualité de fabrication et la même volonté de rester sur l’expérience Android la plus pure possible avec le programme Android One.

On passe cependant à un capteur photo plus performant et un grand écran de 6 pouces au ratio 18:9. Ici, l’appareil ne peut s’empêcher de rappeler un Google Pixel 2 XL en plus abordable. Pour toutes ces raisons, il est selon nous devenu le meilleur ambassadeur d’Android One.

Huawei Mate 20 Lite

Le Huawei Mate 20 Lite se distingue essentiellement par son autonomie exemplaire qui permet de tenir plus d’une journée sans que le niveau de batterie ne soit vraiment inquiété. Ajoutez à cela une qualité photo correcte et un design très bien soigné et vous obtenez un smartphone qui se défend très bien sur sa gamme de prix. Côté caractéristiques, son Kirin 710 n’est bien sûr pas la meilleure puce du marché, mais elle fait tout de même bien le job.

Honor 10

Le Honor 10 reprend les éléments qui ont fait le succès du Honor View 10 et du Huawei P20 en les proposant à un prix plus accessible. De ce fait, ses performances sont assurées par un SoC haut de gamme (le Kirin 970), il intègre un écran borderless avec une encoche et il propose un double capteur photo appuyé par un second rendu via intelligence artificielle faible. Même si cette dernière n’est pas encore assez convaincante, il réussit à proposer une solution très complète pour son prix.

Asus Zenfone 5

L’Asus Zenfone 5 se démarque principalement par son sublime écran de 6,2 pouces et par ses photos généralement bonnes. Il est l’un des premiers smartphones d’Asus à bénéficier de la nouvelle interface ZenUI, beaucoup plus simple et efficace que par le passé.

Samsung Galaxy A8 (2018)

Le Samsung Galaxy A8 (2018) offre une expérience utilisateur très agréable. ll est très autonome et, surtout, il est satisfaisant sur presque tous les points (sans être parfait non plus).

Comme toujours avec cette gamme, le téléphone était proposé un peu cher à son lancement, mais son prix a rapidement baissé.

 

Les meilleurs premier prix

Des smartphones à petit prix, il en existe pléthore. Toutefois, si leurs tarifs sont attractifs, leur qualité laisse quand même à désirer pour un très grand nombre de modèles. Ici, nous parlerons de produits peu chers et qui ne vous décevront pas.

Xiaomi Mi A2 Lite

Le Xiaomi Mi A2 Lite s’inscrit dans la droite lignée du Mi A1. S’il ne lui succède pas directement (le Mi A2 s’en charge), il le remplace parfaitement avec une fiche technique très proche et toujours la signature logicielle de Google avec Android One. Son plus gros point fort, en dehors de son interface épurée et de son petit prix, c’est son autonomie énorme qui vient piétiner la quasi-totalité des smartphones du marché.

Xiaomi Redmi Note 5

Le Xiaomi Redmi Note 5 est l’un des premiers smartphones de Xiaomi à être disponible officiellement en France. Par chance, il s’agit également de l’un des meilleurs rapports qualité/prix du constructeur chinois qui se démarque notamment grâce à la qualité de ses photos, son autonomie et ses performances.

Honor 9 Lite

Le Honor 9 est connu pour son rapport qualité/prix. Celui de son petit-frère est encore meilleur. Le smartphone offre une prise en main très agréable, même s’il se salit malheureusement facilement, un excellent écran et des performances photo honorables pour son prix. Vous pourriez éventuellement hésiter avec le Huawei P Smart, assez proche et également convaincant.

Nokia 6.1

Le constructeur finlandais HMD, qui s’occupe de la marque Nokia, a lui aussi décidé de se tourner vers Android One comme grand différenciateur sur le marché. Son effort en ce sens est cristallisé par le Nokia 6.1, ou 6 2018, qui continue sur la lancée de son prédécesseur.

Nous avons ici le droit à une configuration à base de Snapdragon 630 et 3 Go de RAM qui garantit une très bonne fluidité, et un écran au ratio 16:9 qui plaira sans le moindre doute aux détracteurs du 18:9. Son design est très bien fini, avec un petit look bien à lui qui saura attirer le regard.

 

Le meilleur petit format

Le marché des smartphones petit format est mis de côté depuis quelques années, seuls quelques irréductibles proposent des modèles très compacts.

Sony Xperia XZ2 Compact

Sony est aujourd’hui l’un des rares constructeurs du marché à encore faire attention à plaire aux utilisateurs cherchant un format compact, en dessous des 5 pouces. Le Xperia XZ2 Compact est parfait dans ce cadre, et propose une fiche technique véritablement haut de gamme pour un design contenu, mais hélas un peu épais. Reste qu’il s’agit toujours d’une valeur sûre pour ceux cherchant absolument à pouvoir utiliser le plus simplement du monde leur smartphone à une main.

 

Notre top 10 en vidéo

Lien YouTube

Test du Huawei P smart+ : un Huawei P20 plus accessible encore

$
0
0

Huawei rajoute à son portfolio le Huawei P smart+, connu sous le nom de Huawei Nova 3i en Chine, premier smartphone à être équipé du Kirin 710. Mais que donne ce nouvel appareil milieu de gamme ? Voici notre avis complet et détaillé !

Fiche technique

Modèle Huawei P smart Plus
Version de l'OS Android 8.1
Interface Emotion UI
Taille d'écran 6,3 pouces
Définition 2340 x 1080 pixels
Densité de pixels 409 ppp
SoC Kirin 710 à 2,2GHz
Processeur (CPU) ARMv8
Puce Graphique (GPU) Mali-G51 MP4
Mémoire vive (RAM) 4 Go
Mémoire interne (flash) 64 Go
MicroSD Oui
Appareil photo (dorsal) Capteur 1:16 Mégapixels, Capteur 2: 2 Mégapixels
Appareil photo (frontal) Capteur 1 : 24 Mégapixels, Capteur 2 : 2 Mégapixels
Enregistrement vidéo 1080p
Wi-Fi Oui
Bluetooth 4.2 + A2DP + LE + apt-X
Réseaux LTE, HSPA, GSM
Bandes supportées 2100 MHz (B1), 800 MHz (B20), 1800 MHz (B3), 2600 MHz (B7)
SIM 2x nano SIM
NFC Non
Ports (entrées/sorties) microUSB
Géolocalisation Oui
Batterie 3340 mAh
Dimensions 157,6 x 75,2 x 7,6 mm
Poids 169 grammes
Couleurs Blanc, Noir, Violet
Prix 299€
Fiche produit

Ce test a été réalisé à partir d’un smartphone prêté par la marque.

Design

Ce Huawei P smart+ n’est pas des plus originaux, et pour cause : il ressemble à quasiment tous les smartphones Huawei et Honor sortis cette année. La face avant fait par exemple directement penser au Huawei Mate 20 Lite récemment sorti, puisque celui-ci dispose d’une encoche peu ou prou tout aussi grande et à peu près la même taille de bordures autour et en dessous de l’écran.

Les tranches sont elles aussi parfaitement similaires, avec les touches de volume et de verrouillage mises sur la tranche droite et la tranche gauche ne disposant que de la trappe Dual SIM / SIM + micro SD. En haut, seul le micro de réduction de bruit est présent, tandis que le bas accueille une prise jack, le port de charge en micro USB et une unique grille haut-parleurs.

Le dos en verre est là encore connu, bien qu’il s’apparente bien plus à un Huawei P20. De ce fait, son double capteur (relativement protubérant qui plus est) se situe en haut à gauche de l’appareil, tandis que le scanner d’empreinte est situé au centre, là où le doigt vient naturellement se reposer.

Toujours comme le P20, la marque et les caractéristiques de l’appareil photo sont orientées pour être lisibles en mode portrait lorsque l’on prend une photo. Ainsi, et particulièrement dans le coloris noir que nous testons, le P smart+ ne sort pas vraiment du lot. Ce n’est pas un mal en soi, puisque les designs des appareils cités sont réussis, mais il n’inspire pas grand-chose non plus. Tant qu’il est de bonne facture, ce qui est le cas, nous n’en tiendrons bien sûr pas rigueur outre mesure.

Écran

Le Huawei P smart+ s’équipe d’un grand écran IPS LCD de 6,3 pouces de diagonale en définition Full HD+ et au ratio 19,5:9. Il s’agit là de son plus grand argument selon la marque, qui cherchait à couvrir la demande en grands téléphones sur l’entrée/milieu de gamme.

Sur ce point, le téléphone ne déçoit pas. L’écran est très lumineux, les couleurs vibrantes et le contraste ne manque pas. Le rendu est tout de même assez froid, comme il est coutume désormais sur les smartphones. Cependant, l’interface EMUI prévoit toujours un réglage personnalisé permettant de revenir à des couleurs plus naturelles.

Notez d’ailleurs que, comme tous les smartphones Huawei récents, il vous est offert la possibilité de cacher l’encoche par le biais d’une astuce logicielle.

Logiciel

Le Huawei P smart+ est disponible directement avec EMUI en version 8.2 basé sur Android 8.1 Oreo. Le patch de sécurité fourni est celui de juin 2018, soit un peu en retard sans être catastrophique pour un appareil de milieu de gamme.

L’expérience est… telle qu’on l’a vue et revue sur les appareils de la marque, nous n’allons pas le cacher. Il vous est possible d’activer ou non un tiroir d’applications, de profiter ou non de l’encoche, d’activer ou non la reconnaissance faciale, de personnaliser un maximum votre téléphone avec un magasin de thème et trouver des tonnes et des tonnes de réglages précis pour parfaire votre expérience.

Toujours la même rengaine donc, avec toujours les mêmes défauts : un design d’interface plutôt vieillissant, et des menus qui peuvent paraître un brin fouillis parfois. On rajoute à cela, pour le milieu de gamme, de nombreux jeux et applications préinstallés et nous avons… EMUI 8.2 ! Une interface serviable, un suivi très bon, mais rien de folichon ou qui donne vraiment envie d’avoir le téléphone pour ses atouts logiciels. Ça fait l’affaire, c’est tout ce qu’on demande, mais ce n’est pas très transcendant.

Performances

Pour s’assurer de belles performances, le Huawei P smart+ s’équipe du tout nouveau Kirin 710 couplé à 4 Go de RAM. Le nouveau SoC milieu de gamme de HiSilicon se veut être le successeur du Kirin 659, disponible sur le P smart classique et qui a fait son temps.

Sur les tâches classiques du quotidien, celui-ci fait largement l’affaire et il n’existe pas de moment où le smartphone perd en fluidité ni même ne peine à passer d’application en application. Pas de souci donc.

 Huawei P smart+Huawei Mate 20 LiteHonor 10Nokia 7+
SoCKirin 710Kirin 710Kirin 970Snapdragon 660
AnTuTu 7.x138 080137 975197 690140 565

Sur Arena of Valor, le jeu ne permet pas de débloquer le compteur de FPS. En réglage normal, il offre un 30 FPS absolument parfait, sans aucune chute qu’importe la teneur de la partie.

PUBG Mobile est un brin différent. Le jeu se lance en réglage moyen, mais n’est pas extrêmement stable. S’il est tout à fait jouable de la sorte, on conseillera tout de même de baisser les graphismes pour avoir la meilleure expérience possible.

Sans être un foudre de guerre, le Huawei P smart+ a au moins le mérite de ne pas trop chauffer au cours de tous ces exercices. La dissipation de la chaleur est qui plus est très rapide.

Appareil photo

Capteurs photo arrière

Le Huawei P smart+ s’équipe à l’arrière d’une configuration double : le premier capteur est un 16 mégapixels à objectif ouvrant en f/2.2, couplé à un capteur de 2 mégapixels simpliste servant à détecter la profondeur de champ.

En pleine lumière avec un beau soleil, le Huawei P smart+ régale. Le niveau de détail est vraiment très bon et les couleurs sont bien conservées. La plage dynamique est également bien conservée malgré le soleil en pleine face : les photos sont plus qu’agréables.

En intérieur et en basse luminosité, le constat est plus mitigé. Les couleurs sont plutôt bonnes, mais le bruit vient énormément détériorer le piqué final de l’image. Malgré tout, les plages dynamiques sont assez bien supportées, faisant qu’il est toujours possible de réaliser de beaux clichés. L’IA aide à rebalancer l’image, mais force toujours plus de bruit en contrepartie.

Capteurs photo avant

À l’avant, nous avons une nouvelle fois le droit à une configuration double : le capteur principal est un 24 mégapixels à objectif ouvrant en f/2.0, tandis que le second est une nouvelle fois un simple capteur de 2 mégapixels pour la reconnaissance de profondeur.

Celui-ci est également très bon. En plein jour, les couleurs sont très bien conservées et les détails plus que présent, donnant un piqué général de l’image excellent. En intérieur, le rendu est une nouvelle fois bon avec une très bonne conservation des détails, même si la balance des blancs peut parfois rendre l’image un poil trop claire. Enfin, en basse luminosité, c’est une bonne surprise : si le bruit vient fortement nuire à la netteté et aux détails de l’image, le rendu final est tout de même plus qu’utilisable grâce à une bonne conservation générale des couleurs.

Attention toutefois : une petite latence apparaît parfois à la capture, faisant que quand bien même l’appareil semble avoir pris la photo, une demi-seconde supplémentaire est demandée pour finaliser le tout. De ce fait, il m’est arrivé de prendre énormément de photos où j’ai les yeux fermés, pensant que la photo était prise. C’est un petit point faible à considérer.

Mode portrait

Double capteur aidant, un mode portrait est disponible aussi bien à l’avant qu’à l’arrière sur les deux appareils. Il vous permet de définir le niveau de flou avant capture, tout autant que des effets d’éclairage studio. Ces derniers sont bien inutiles et fonctionnent plutôt mal, ce qui est aussi le cas sur le haut de gamme : la technologie elle-même n’a simplement pas grand intérêt.

En se concentrant simplement sur le bokeh, la détection des bords est plutôt réussie, qu’importe qu’il s’agisse du capteur avant ou arrière. La délimitation du sujet est toujours perfectible, mais le rendu final reste tout à fait acceptable surtout en considérant un partage sur les réseaux sociaux mobiles plutôt qu’une utilisation professionnelle.

Intelligence artificielle

L’appareil photo du Huawei P smart+ profite lui aussi de l’intelligence artificielle pour améliorer dynamiquement vos photos… du moins, sur le papier.

Dans les faits, celui-ci est assez mal calibré et vient donc moins améliorer vos photos que les rendre surréalistes au possible. Il améliore les choses en conditions de basse luminosité, mais peut-être devriez-vous éviter de l’activer lorsque les conditions de prise de vue sont déjà bonnes : il ne fera que saturer au maximum les couleurs et les teintes.

En tout cas, la différence est palpable et semblable à un filtre Instagram mal maîtrisé : on le trouvait un peu trop agressif sur le Honor 10, il est encore un cran au-dessus sur ce Huawei P smart+. Votre attrait pour le résultat final dépendra évidemment de vos goûts, mais vous êtes au moins prévenus.

Autonomie

Pour s’assurer une bonne autonomie, le Huawei P smart+ intègre une batterie de 3 340 mAh. Le chargeur fourni est un 5V tout à fait classique.

À l’utilisation, il s’en tire avec les honneurs. Si l’on sent que ce n’est pas un monstre d’autonomie, il offre tout de même de quoi tranquillement terminer sa journée sans se stresser, même avec une utilisation mixte web/réseaux sociaux/jeux.

Sur notre test d’autonomie Viser personnalisé, on retrouve le même constat. En tenant 8 heures et 18 minutes, il s’inscrit tout simplement dans la moyenne basse constatée cette année sur le marché. Il y a bien pire, mais il pourrait clairement faire mieux au vu des résultats des autres smartphones de cette année.

Concernant la recharge, le chargeur inclus fait son office… pour peu que vous soyez patient. Le téléphone n’aura récupéré que 24 % de batterie en 30 minutes (de 20 à 44 %), pour une recharge totale aux environs de 2 heures.

Galerie photo

Prix et date de sortie

Le Huawei P smart+ est d’ores et déjà disponible, uniquement en ligne, au prix de 299 euros. Il est vendu en deux coloris : noir, et « violet irisé » soit un dégradé de bleu et de violet.

Où acheter le Huawei P smart Plus au meilleur prix ?

Huawei Mate 20 : une vidéo prétend montrer ses faces avant et arrière

$
0
0

Une vidéo circulant sur le Net montre les face avant (avec écran allumé) et arrière du supposé Huawei Mate 20.

Les Huawei Mate 20 et Mate 20 Pro vont être présentés le 16 octobre prochain. Ils font ainsi partie des smartphones les plus attendus de ce dixième mois de l’année très riche en annonces. Et évidemment, plus l’échéance approche, plus les leaks sont nombreux.

Une vidéo diffusée sur le réseau social chinois Weibo et relayée sur SlashLeaks montre les faces avant et arrière d’un appareil qui a tout l’air d’être le Huawei Mate 20 dans sa version classique avec une encoche discrète. Cette dernière paraît d’ailleurs toute petite comparée à la surface de l’écran.

Lien YouTube

À l’arrière, on peut admirer le module photo au format carré — avec trois objectifs et un flash. Sur le bas du dos, on peut lire la mention « Hyrion » écrite dans la même police habituellement utilisée pour le logo Huawei. Il est possible qu’il s’agisse du nom utilisé par le constructeur sur ses prototypes, comme Google n’utilise pas son vrai logo sur ses modèles non finalisés.

Il est donc possible que, au moment de son officialisation, le design du Huawei Mate 20 change légèrement par rapport à cette vidéo. Bien sûr, il faut également rappeler que les informations livrées dans ce contenu sont à prendre avec des pincettes.

À lire sur FrAndroid : Huawei Mate 20 Lite, Mate 20 et Mate 20 Pro : tout ce que l’on sait sur la prochaine gamme du fabricant

HTC Dream : il y a dix ans, le premier smartphone sous Android était annoncé

$
0
0

Il y a dix ans, HTC présentait le tout premier appareil commercialisé sous Android, le HTC G1, connu sous le nom de HTC Dream lors de sa commercialisation en France.

Si on a déjà fêté les dix ans d’Android en novembre 2007, il s’agissait l’an dernier de célébrer la première décennie depuis la présentation de l’OS mobile de Google. Le premier appareil commercialisé directement avec ce système d’exploitation a quant à lui été annoncé moins d’un an plus tard, le mardi 23 septembre 2008 pour être précis. Eh oui, on fêtait ce dimanche les dix ans de la présentation du HTC G1.

Le smartphone de HTC, qui a été le premier constructeur à adopter Android après quelques années passées sous Windows Mobile, a en effet été dévoilé officiellement il y a tout juste dix ans. À l’époque, le marché du mobile était bien différent de celui d’aujourd’hui. Si le premier iPhone avait déjà été lancé par Apple, le système d’exploitation majoritaire était encore Symbian OS, qui équipait notamment le Nokia N95, et BlackBerry était en pleine ascension. Il aura cependant fallu encore attendre quelques semaines après son annonce pour que le HTC G1 soit commercialisé. Il a été rendu disponible aux États-Unis le 20 octobre 2008, puis en France en mars 2009, sous le nom de HTC Dream.

Pour rappel, le HTC Dream était doté d’un clavier coulissant, avec un écran de 3,2 pouces, 256 Mo de stockage, un processeur MSM7201A de Qualcomm couplé à 192 Mo de RAM. Aviez-vous acheté le smartphone de HTC à l’époque ? N’hésitez pas à nous faire part de vos souvenirs dans les commentaires.

Le Nokia 7.1 Plus à encoche se montre sous toutes les coutures en images et vidéo

$
0
0

Le Nokia 7.1 Plus sera très bientôt annoncé. D’ici là, OnLeaks et MySmartPrice se sont une nouvelle fois alliés pour nous offrir un rendu plus vrai que nature du téléphone, en images comme en vidéo.

Nokia est l’un des rares constructeurs à ne pas avoir suivi la tendance de l’encoche et à être resté relativement sobre dans son design pour les Nokia 6.1 et 7 Plus de début d’année. Ça ne durera pas.

Les premières nouvelles d’un Nokia 7.1 Plus nous sont parvenues récemment, et MySmartPrice s’est associé à OnLeaks pour publier de premiers rendus basés sur un modèle 3D du téléphone.

Le Nokia 7.1 Plus à encoche se dévoile

On peut apercevoir grâce à cela le nouveau design du téléphone. Face au Nokia 7 Plus classique, cette version 7.1 passerait à un dos en verre et un écran occupant la grande majorité de la surface avant, encoche incluse. Les notes cuivrées du contour métallique semblent également être remisées, pour un look un peu plus passe-partout.

C’est peut-être plus sur le contour justement que l’on reconnaît la marque Nokia, avec ses tranches bien marquées. Évidemment, le logo apposé bien au centre du menton avant du téléphone ne laissera aucun doute en un coup d’œil.

Lien YouTube

Le Nokia 7.1 Plus devrait être présenté au cours du mois d’octobre. Nous attendons surtout maintenant de connaître ses caractéristiques techniques et son prix.

MySmartPrice

Huawei assure que son Kirin 980 est plus puissant que l’A12 Bionic d’Apple

$
0
0

Confiant dans les capacités de sa toute dernière puce, le Kirin 980, Huawei affirme que celle-ci sera plus puissante que l’A12 Bionic d’Apple. La bataille au sommet s’annonce corsée.

Nous parlons beaucoup des Huawei Mate 20 et Mate 20 Pro. Et pour cause : ces deux smartphones promettent, entre autres, une grosse montée en puissance. Ils vont en effet s’équiper du Kirin 980, la dernière puce de HiSilicon (une filiale de Huawei). Cette dernière s’est distinguée en étant le premier SoC gravé en 7 nanomètres à être officialisé. C’était lors de l’IFA 2018 à Berlin.

Les smartphones, eux, sont attendus pour le 16 octobre prochain. Or, entre-temps, Apple a dévoilé ses nouveaux iPhone XR, XS et XS Max équipés du A12 Bionic, lui aussi gravé en 7 nanomètres. Autrement dit, les smartphones de la Pomme sont les premiers du marché à profiter d’une telle intégration, coiffant ainsi les Mate 20 sur le poteau.

Cela ne pose pas problème selon Huawei. Comme le rapporte TechRadar, lors d’un entretien organisé à Dubaï, l’entreprise a affirmé que son Kirin 980 serait plus puissant que le A12 Bionic d’Apple. Les deux SoC embarquent 6,9 milliards de transistors chacun et nul doute qu’ils lutteront dans le haut du panier pour la suprématie en termes de puissance.

Lien YouTube

Plus rapide, plus efficace

Huawei affirme que son Kirin 980 est plus rapide que la génération précédente de 75 % sur le CPU et 46 % pour le GPU. Tout cela est couplé à une efficacité énergétique également plus poussée. Le SoC est par ailleurs propulsé par un algorithme intelligent en local pour assurer la reconnaissance d’image et savoir quand la puce doit déployer sa pleine puissance ou quand il faut plutôt se concentrer sur l’économie d’énergie.

Enfin, en ce qui concerne la connectivité, le Kirin 980 sera le premier SoC à pouvoir gérer des débits descendants allant jusqu’à 1,4 Gb/s (LTE catégorie 21).

Huawei a renforcé ses piques à l’encontre de la firme de Cupertino. La marque l’a remercié avec ironie pour « n’avoir rien changé » avant de distribuer des batteries externes aux clients qui attendaient devant les Apple Store pour se moquer de l’autonomie des iPhone. Ici, on peut espérer que cette forme trollesque laissera sa place aux arguments de fond plus convaincants.

À lire sur FrAndroid : Huawei Kirin 980 : son ingrédient secret pour battre Apple et Qualcomm ? Son intelligence !

TechRadar


OnePlus attaqué en justice pour avoir usurpé le nom « Dash Charge »

$
0
0

Les deux constructeurs ne luttent pas dans le même secteur des nouvelles technologies et pourtant, Bragi a décidé d’attaquer OnePlus en justice. En cause, l’utilisation du terme Dash pour la recharge rapide chez OnePlus alors que le nom est déjà utilisé pour des écouteurs chez Bragi.

Bragi n’est pas aussi connu que Jabra, Samsung ou Bowers & Wilkins et pourtant, il s’agit de l’un des premiers constructeurs d’écouteurs true wireless, sans aucun câble, pas même pour connecter les deux écouteurs entre eux. En janvier 2015, le fabricant allemand lançait ses écouteurs The Dash, pionniers d’une tendance qui s’est installée depuis. Sur ses modèles suivants, le constructeur a conservé la marque The Dash en la déclinant pour ses nouveaux écouteurs, les Dash Pro, et Dash Pro Tailored, mais aussi sur ses boîtiers de recharge, baptisés… Dash Charger.

C’est seulement un an plus tard, en juin 2016, que OnePlus lancera la marque Dash Charge. Cette fois, il n’est plus du tout question d’écouteurs, mais seulement d’un système de recharge rapide, inauguré sur le OnePlus 3. Un nom qui a posé problème à Bragi qui avait déjà déposé en Europe la marque Dash. Cependant, si OnePlus avait fait marche arrière avec le OnePlus 6, en adoptant le terme plus générique « Fast Charging » pour éviter des poursuites, OnePlus ne semble pas s’être mis à l’abri comme le relate Digital Trends.

Dash contre Dash

Le site américain révèle en effet que Bragi a déposé plainte contre OnePlus en Europe pour atteinte au droit des marques. Bien que OnePlus ait déposé la marque Warp Charge en Europe le 13 juillet dernier pour éviter toute poursuite, ce nouveau nom n’est toujours pas mis en avant par le constructeur chinois de smartphones et ne devrait l’être qu’avec l’annonce prochaine du OnePlus 6T. Par ailleurs, une plainte similaire a été déposée par Bragi aux États-Unis, toujours contre l’utilisation du terme Dash Charge. D’après Engadget, il pourrait s’agir d’une simple procédure permettant à Bragi de continuer à utiliser ce nom, même si la plainte n’aboutit pas : « dans certains pays, si vous ne défendez pas votre marque en justice, vous risquez de perdre la possibilité de le faire plus tard. Bragi ne voudrait pas que davantage d’entreprises utilisent le terme Dash pour diluer sa marque ».

À lire sur FrAndroid : OnePlus 6T : tout ce que l’on sait du smartphone avec lecteur d’empreintes dans l’écran

Digital Trends

Les 10 smartphones les plus populaires sur FrAndroid (semaine 38)

$
0
0

Quels sont les smartphones préférés des lecteurs de FrAndroid ? Si jamais vous vous posiez la question, voici le Top 10 des produits les plus consultés chez nous la semaine dernière.

Depuis ce dimanche, nous sommes officiellement en automne. Les feuilles vont commencer à tomber, le froid à revenir et les appareils à raclette à sortir de leur placard. Bref, la saison change, mais une chose ne change pas : notre TOP 10 hebdomadaire des smartphones !

Pour rappel, ce top est réalisé sur le nombre de lectures de nos fiches produit, regroupant toute l’actualité autour d’un même produit, sa fiche technique, sa note et bien d’autres informations. Nous nous penchons attentivement sur ces chiffres pour analyser les tendances forgées par nos lecteurs. Nous voici donc partis pour le Top 10 des smartphones les plus populaires de la semaine sur FrAndroid du 17 au 23 septembre.

Huawei s’impose

Depuis quelques mois, les Huawei P20 Pro et OnePlus 6 se battent pour la première place, alternant d’une semaine sur l’autre. Pour la deuxième semaine consécutive, le premier arrive cependant à conserver sa position de leader, avec une petite avance confortable qui plus est. Un signe possible que les utilisateurs commencent à se désintéresser du flagship killer à l’approche de son successeur. « Désintéresser » reste cependant un grand mot sachant qu’il reste deuxième de ce classement.

Mais là où Huawei fait fort, c’est qu’il arrive à imposer deux autres de ses appareils dans la première moitié de ce TOP10. En effet, on retrouve le Mate 20 Pro en 4e place et le Nova 3 en 5e place. Notons que le premier n’est même pas encore sorti, mais attise déjà la curiosité, tandis que le second n’est pas disponible en France.

Les flagships Samsung en demi-teinte

Samsung, numéro un de la téléphonie, arrive toujours à s’imposer par le nombre dans ce classement. Étrangement, malgré son récent lancement, le Galaxy Note 9 n’arrive qu’en 8e position, entre l’excellent Galaxy A8 (2018), la référence du rapport qualité/prix du début d’année, et le Galaxy S9+, flagship du premier semestre.

Non, le vrai « héros » coréen, au final, c’est le Galaxy S7 qui trône toujours sur la 3e marche du podium, deux ans et demi après sa sortie. Il est vrai qu’il s’agissait d’un excellent smartphone à son époque, qui vaut encore le coup aujourd’hui. Le Galaxy J8, l’entrée de gamme sorti en juillet, ferme la marche.

Enfin, notons la présence du Redmi Note 5 en 6e position, toujours bien placé en raison de son très bon rapport qualité/prix sur un segment très demandé.

Classement

Google Pay va faciliter le partage d’argent grâce aux QR codes

$
0
0

Google Pay devrait bientôt être doté d’une fonctionnalité très en vogue, le transfert d’argent simplifié entre particulier.

Sur le marché des solutions de paiement, l’une des tendances du moment est de faciliter le partage d’argent entre amis. Ces services veulent régler les problèmes de petits remboursements, ou de partage des additions, entre amis, à l’heure où l’on peut se balader avec de moins en moins d’argent en liquide dans nos poches.

Sur ce terrain, on peut mentionner Paiements dans Facebook Messenger avec PayPal, Paylib entre amis, ou encore Apple Pay Cash indisponible en France. C’est désormais Google qui prépare son lancement.

Google donne un nouvel usage au QR Code

Jane Manchun Wong, spécialisée dans le décorticage des applications, a trouvée la preuve que Google travaille à ajouter une fonction de partage d’argent entre particuliers avec Google Pay.

La fonction semble très simple à utiliser. Le destinataire du paiement peut afficher un QR Code généré par Google Pay, et la personne qui fait le transfert n’a plus qu’à scanner le QR Code pour procéder au paiement.

On attend encore le lancement officiel de Google Pay en France. Ce dernier pourrait avoir lieu dès le mois d’octobre pour accompagner l’annonce des Pixel 3. Il est toutefois déjà possible d’en profiter pour les utilisateurs de Revolut.

À lire sur FrAndroid : Comment scanner un QR Code sur Android ou avec un iPhone

XDA-Developers

Gboard tente de régler le principal problème du clavier AZERTY avec le français

$
0
0

Gboard teste une nouvelle option en interne pour faciliter l’écriture en français. En fonction du contexte, la touche du clavier dédiée à l’apostrophe se transforme automatiquement en une lettre spéciale comme le « ç », le « œ » ou les lettres accentuées.

En termes de claviers, deux grandes écoles s’affrontent dans le monde occidental : le QWERTY contre l’AZERTY. En France, c’est ce dernier qui s’impose malgré l’émergence de solutions alternatives. Mais cette norme n’est pas forcément très adaptée à la langue française qui, comme chacun le sait, cultive son goût pour les lettres accentuées et les caractères un peu spéciaux comme le « œ » ou le « ç ».

Sur la grande majorité des claviers, pour avoir accès à ces caractères particuliers, il faut rester appuyer sur la lettre qui s’en rapproche le plus — le « e » pour le « é » par exemple. Si ce geste est devenu une sorte de réflexe, il représente mine de rien une petite perte de temps comparé à nos amis anglophones qui ne s’embarrassent pas de telles règles.

Une touche qui se transforme

Google tenterait de résoudre ce petit problème sur son application Gboard. Jane Manchun Wong, une développeuse qui a l’habitude de fouiller dans le code des applications mobiles pour y dénicher des nouveautés à venir, a trouvé des indices montrant que la firme de Mountain View travaille sur une manière de rendre plus accessible les caractères singuliers à la langue française.

Sur l’exemple partagé par Jane Manchun Wong, on peut voir que le clavier se transforme quand il repère qu’une desdites lettres peut être utilisée. Après avoir tapé « franc », la développeuse voit ainsi l’apostrophe se changer en « ç ». Il ne lui reste plus qu’à appuyer dessus pour compléter sa phrase.

Cette touche alternative, fonctionnant sur la prédiction de mot, pourrait éventuellement être une solution pratique dès que l’on souhaiterait écrire une phrase du genre : « un perçant astéroïde a foncé sans ambiguïté sur mon bonsaï au cœur de la rivière ». En attendant le déploiement officiel de cette nouveauté, testée en interne pour l’instant, n’hésitez pas à consulter notre sélection des meilleurs claviers sur Android.

Télécharger pour Télécharger gratuitement sur Google Play | Télécharger

À lire sur FrAndroid : Les meilleurs claviers Android en 2018 : notre sélection

Jane Machun Wong

Qu’est-ce que Flutter, l’outil permettant de créer des applications Android et iOS ?

$
0
0

Flutter, le framework de Google permettant de concevoir des applications multiplateforme pour Android et iOS, est désormais disponible en Release Preview 2. La première version stable ne devrait plus tarder à pointer le bout de son nez.

Vous ne le savez peut-être pas, mais les applications que vous téléchargez sur le Google Play ont pu être conçues de nombreuses manières différentes.

La plus connue, et la plus répandue, est une application dite native utilisant le SDK fourni par Google. L’avantage de cette solution est d’offrir les meilleures performances, tout en utilisant l’intégralité des capacités d’Android. Elle a toutefois un inconvénient majeur : son coût. Imaginons qu’un service soit également disponible sur iOS, il va falloir développer une deuxième application identique. L’entreprise doit alors recruter et gérer deux équipes, qui, pour simplifier, vont développer la même chose une deuxième fois. En plus de cela, il faudra exécuter de nombreux tests pour s’assurer que le comportement est bien celui souhaité sur les deux plateformes.

Les applications multiplateforme

Si le choix du natif est incontestablement le meilleur, l’idée d’utiliser des frameworks multiplateforme a rapidement émergé. Les entreprises y voient un formidable moyen pour baisser les coûts de développement, tout en essayant de coller au mieux aux deux plateformes. Jusqu’à présent, différentes solutions se sont ainsi livré bataille.

La plus simple qui vient à l’esprit est de partir sur du Web, puisqu’elle est logiquement compatible avec toutes les plateformes. Ce choix séduisant sur le papier l’est un peu moins dans les faits, puisque les performances ne sont pas optimales. Par ailleurs, toutes les APIs ne sont pas nécessairement disponibles et les développeurs doivent tant bien que mal gérer les différentes versions des WebView (le composant interne affichant des pages web).

D’autres solutions, comme React Native, propulsée par Facebook, essaient de satisfaire les deux mondes, en partant sur un langage du Web (le JavaScript) et en utilisant les vues natives d’Android et d’iOS. Bien que l’expérience soit très nettement supérieure, ces applications ne sont toujours pas natives. Cela veut dire qu’au lieu d’avoir une application optimisée pour le téléphone, le code sera interprété au fur et à mesure de son exécution par l’utilisateur.

Des exemples d’applications Flutter

Flutter ?

Flutter est un framework développé par Google, le plus récent de tous. De ce fait, les ingénieurs ont pu observer les points forts et les faiblesses de chaque outil existant pour n’en extraire que la quintessence.

Ce nom vous est par ailleurs peut-être familier, puisqu’il s’agit de l’une des briques essentielles de Fuchsia/Andromeda. En effet ce framework est utilisé pour tout ce qui est interface utilisateur. Mais aujourd’hui Flutter se fait surtout connaître pour sa capacité à concevoir des applications natives multiplateforme pour Android et iOS (Windows/Mac/Linux sont également supportés).

L’équipe de Flutter provient essentiellement du Web (plus particulièrement de Chrome) et a essayé d’adapter sa philosophie au monde du mobile. Ils se sont appuyés pour cela sur Skia, le moteur qui fait partie intégrante de Chrome ou encore de toute la gestion du texte d’Android.

Dart comme langage de programmation

Google a créé de nombreux langages de programmation, dont Dart. Celui-ci ne vous dit peut-être rien… et ne nous le cachons pas, il commençait à tomber dans l’oubli. Mais depuis l’émergence de Flutter, ce langage retrouve des couleurs et a même connu une version 2.0.

Si Google a opté pour Dart, c’est parce qu’il offre deux modes de fonctionnement. Le premier, nommé AOT (pour Ahead Of Time), permet de générer une application native pour chaque plateforme. L’avantage de Flutter, par rapport à ses concurrents, est donc fort, puisque le code sera optimisé directement pour l’architecture sur laquelle il fonctionnera.

La fonctionnalité de Hot Reload permet d’appliquer les modifications en quelques instants

Le deuxième mode de fonctionnement est dit JIT (Just-In-Time) et offre la fonctionnalité de Hot Reload lors des développements. Si vous avez déjà eu l’occasion de concevoir une application Android native, vous avez probablement été effrayés devant les temps nécessaires entre chaque build. L’idée du Hot Reload en Flutter est de corriger ce problème en ne mettant plus que quelques millisecondes (voire secondes dans le pire des cas) entre chaque modification. Le développement de son application est alors bien plus rapide.

Outre ces deux modes, Dart est aussi très performant pour gérer l’allocation et le “garbage collector”, c’est-à-dire l’élimination des objets en mémoire qui ne sont plus utilisés.

Un parti pris

Un extrait du catalogue de Widgets Material

Contrairement à React Native, Google a choisi la solution la plus compliquée, à savoir recréer l’ensemble des composants graphiques en Flutter. Cette direction qui demande un travail colossal a un énorme avantage : les développeurs sont toujours certains d’avoir le rendu souhaité sur les différentes plateformes. Exit la gestion des versions sur Android, où Holo et Material n’ont cessé d’évoluer au fil du temps.

En contrepartie, cela veut dire qu’en utilisant Flutter dans son application, il est nécessaire d’incorporer ce code, qui vient alourdir l’apk/ipa finale..

Toutefois, et dans la mesure où Flutter fonctionne sur tous les terminaux Android à partir de la version 4.1, ce n’est pas un si grand défaut. En effet, les développeurs natifs Android sont obligés de faire de même s’ils souhaitent bénéficier des composants Material sur une large palette de versions d’OS.

À noter que sur iOS, les iPhone et iPad sont compatibles depuis la version 8.0 sur les modèles 32 et 64 bits.

Des Widgets partout

Contrairement à d’autres systèmes, Flutter offre une quantité incroyable de Widgets (plusieurs centaines). L’idée développée par ses concepteurs est qu’un Widget ne doit faire que sa propre tâche.

Prenons le cas d’un texte : le Widget Text ne sait afficher que du texte à l’écran. Il ne saura pas modifier la couleur de fond ou gérer son emplacement à l’écran. Ces deux autres tâches seront dédiées à d’autres Widgets spécialisés. Ce parti pris est ce qui fait aujourd’hui la force de ce framework, en extrayant des performances incroyables.

Ce principe permet aussi à Flutter d’être compréhensible par tous. Certes, les développeurs continueront à concevoir des applications, mais on pourrait aisément penser que des designers pourraient s’y intéresser.

Voici un exemple, affichant un texte et une icône centrés :

Center(
child: Column(
children: [
Text(‘Hello, World!’)),
Icon(Icons.star, color: Colors.green)
]
)
);

Mais qu’est-ce que ça donne en vrai Flutter ?

Il existe une application de démonstration que vous pouvez télécharger sur le Google Play :

Télécharger gratuitement sur Google Play | Télécharger

Malheureusement pour iOS, il faut compiler vous-même l’application, car Apple refuse les applications de ce type.

Outre la galerie Flutter, vous pouvez trouver sur le site officiel quelques applications mises en avant. Google cite notamment le cas d’Alibaba qui a déployé en Chine une application auprès de 50 millions d’utilisateurs, preuve que Flutter est tout à fait robuste pour passer dès à présent en production.

Un annuaire non officiel recense également les applications développées par la communauté : itsallwidgets.com.

Release Preview 2

Le projet Flutter a connu une véritable envolée depuis le début de l’année, correspondant à la publication de la première version bêta. De nombreuses versions se sont ensuite succédé, jusqu’à atteindre la Release Preview, fin juin. Cette étape marque l’approche d’une version stable et finale.

L’application Paramètres d’iOS recréée en Flutter (y compris ses animations)

Mercredi dernier, l’équipe de Flutter a annoncé la deuxième Release Preview. Au programme : un catalogue de Widgets reprenant l’interface d’iOS (Cupertino) plus fourni, la possibilité d’exécuter du code Dart/Flutter sans pour autant que l’application soit au premier plan ou encore une réduction de la taille de l’application de 30 % environ.

Il s’agit de la dernière Release Preview en attendant la version stable, qui devrait logiquement sortir dans quelques semaines.

Vous voulez en savoir plus ?

Cette introduction vous a intrigués et vous souhaitez découvrir Flutter ? Tout est expliqué sur le site officiel.

En parallèle, mercredi soir (le 26 septembre), un codelab est organisé à Paris afin que vous puissiez venir découvrir Flutter et développer votre première application. Les inscriptions gratuites se font directement sur ce lien.

Viewing all 27124 articles
Browse latest View live


Latest Images